Projet Blues Clair

« Revisiter les pratiques d’écritures de Patrick Straram »

« Ces réflexions sont celles d’un écrivain/écrivant qui pense
la problématique ‘‘culturel/politique’’ capitale »
La révolution, comme l’amour, est à réinventer
- Henri Lefebvre

Définition SOCRA/CRI/TIQUE

Le projet contre-culturel est intéressant : la production d’une différence, transgressant les codes établis et irréductibles aux entreprises de réification par lesquelles se maintiennent au pouvoir les classes dirigeantes qui ignorantisent et manipulent pour borner au gain et à la consommation dans un système capitaliste.

La contre-culture ne peut se développer qu’en marge du réel, et pour se suffire hors le réel, doit avoir recours à mystique et anarchie, qui à long terme l’éliminent, certains de ses aspects récupérés et les autres abolis.

[…]

La survie de groupuscules contre-culturels qui ne remettent pas en question la propriété privée des moyens de production […] dépend de ce que peut y investir le monde des affaires.

Leaders et suiveurs de la contre-culture ne pensaient qu’à leur ego et de chimériques au-delàs. Ils se méfiaient des politiques, et les politiques n’avaient pas l’intention d’entamer un dialogue avec ces illuminés facilement des agents provocateurs au service des forces de l’ordre. Les politiques n’ont rien compris.

[…]

Pierre Maheu est particulièrement nocif, à la fois influent dans le secteur cinéma/télévision « progressiste », principal responsable d’une « commune » : il a fait un film incroyablement pourri, Le Bonhomme…

La barbarie ne provient pas de la barbarie, mais des affaires.
– Brecht

Contre-culture = agent de barbarie Contre-culture = mythe
Contre-culture = danger
Contre-culture = illusoire
Contre-culture = société du spectacle
Contre-culture = église

Il n’y a de choix utile que celui du politique […]
qui s’articule désormais en fonction de sujet et culture